Jeudi 22 avril

Lever de soleil sur le le château de coton depuis la terrasse de notre chambre.
Troupeau de bovidés à côté de l'hôtel. Même le groupe de gros "c..." nous ont suivi de peur que nous nous installions les premiers dans le bus ! Ils n'ont pas insisté devant les cornues !




Le berger a pris la pause.



Nous avons continué la série des visites obligatoires par les loukoums. Au lieu de nous énerver, nous avons goûté et nous ne nous sommes pas gênés : à s'en faire éclater la panse.

La Turquie a tout compris dans ce qui est l'énergie solaire.Les toits des immeubles sont transformés en forêt de panneaux solaires et chauffeaux.

Le meilleur de ces deux jours : notre guide. Très satisfait de sa personne. Un moulin à paroles inutiles. Sur les sites, il n'y avait aucune explications interessantes. Il avait dû jugé le groupe ignare et ne s'est pas donné la peine de nous éclairer, juste de nous raconter ses petites histoires perso.

Des oliviers à foison, jusqu'au sommet des massifs.

Petite mosquée à Selçuk côté d'Ephèse.

La seule colonne qui reste d'une des sept merveilles du monde : le temple d'Artémis.

A côté, la citadelle de Selçuk.



Et la vieille mosquée Isabey datant du XIV ème et restaurée.

L'entrée de la mosquée.

Le "cloître", très buccolique.

L'intérieur de la mosquée avec ses tapis et ses voûtes romanes.

Philippe découvre le Coran en allemand : tout un programme.

D'anciens bains.

Début de la visite d'Ephèse par le Bouleutérion (Sénat).

A côté se trouve une des nombreuses agora (place publique) de la ville.



Une des voies principales d'Ephèse qui descend vers la bibliothèque.


Le vaste site d'Ephèse. Toute les collines étaient baties en terrases.

Des restes de canalisations.



Stèle représentant le symbole des médecins : "ici ne rentre pas la mort" et sur l'autre face le caducée.

La voie Curetes.



Niké, déesse de la victoire sa palme et sa couronne de laurier.

La voie des notables.

La porte d'Héraclès.

Devant une série de boutique, un sol en mosaïque.

La fontaine de Trajan.



Ensemble de latrines publiques avec système d'égouts.

A partir de là, nous avons fussé compagnie au groupe. En arrivant sur le site, ayant vu avant de partie qu'Ephèse ossédait des mosaïques un peu comme Pompéi, j'ai demandé au guide si elles étaient là. -oui. - Va-t-on les voir ? -non. Elles sont en restauration aux mains des archéologues.
Or à ce moment-là de la visite, quelle ne fut pas ma surprise d'entendre que l'on pouvait les visiter mais qu'on n'avait pas le temps et surtout que c'était payant. Un peu échauffés par cette mauvaise foi, Philippe et moi avons vertis que nous les rejoindrions au bus. Nous avons donc pris notre ticket pour pénétrer sous un vaste hangar protégeant un ensemble d'ancienne villas romaines effectivement aux mains des archéologues.

Un chemin de panneaux de verre serpentait dans les restes.
Bas relief en marbre.

Bassin en marbre.











Fresques.













Mosaïques.

Un ensemble de pièces, avec l'atrium, décorées de fresques et mosaïques.





















Vue sur une immense agora et la voie qui mène au théâtre.



Façade de la bibliothèque de Celcius.

Quatre statues représentant des qualités comme ici Sophia, la sagesse.

Chapiteau et plafond richement décorés.

L"agora.

L'immense théâtre pouvant contenir 24 000 spectateurs.

Différences entre un théâtre romain comme ici et un théâtre grec :
Romain : plusieurs séries de sièges suivant les classes sociales, une scène sur laquelle se produisent les artistes, une forme de demi-cercle, des portes d'entrée sur les côtés.
Grec : une seule série de sièges de haut en bas, pas de scène : les acteurs sont directement au milieu, une forme de fer à cheval, pas de portes d'entrée.
Dans celui-ci, il y eu des combats d'animaux car la première rangées de sièges est à 2m50 de hauteur.

Au fond se situe la mer qui a reculé de 10 km depuis l'Antiquité par comblement sédimentaire et provoqué l'abandon du site.

Galerie de côté.

Lac saumâtre en rentrant sur Bodrum.

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